Show doré

Un dimanche midi, à l’heure du déjeuner, dégainer cette bafouille qui peut dégoûter, choquer et faire jaser…
#TrashLady#DirtyLady !

Je voulais juste qu’il le fasse parce que les mecs qui jactent mais n’agissent pas, moi ça me gave.
Ça revenait régulièrement nos échanges de cul à distance, il voulait me pisser dessus, il allait m’envoyer son jus doré, sur ma petite gueule de vieille putain grise, prépare-toi à recevoir mon jet chaud, etc, etc… Mais les années passaient, et pas de « Golden Shower » à l’horizon de nos éblouissants ébats.
Je tentais de le piquer au vif: « Petit joueur, Paroles, Paroles, t’as pas de couilles ! »
Je proposais des hôtels adaptés à ce jeu (l’immense douche vitrée du Mama Shelter, prévue pour deux, avec robinetterie au milieu et non au fond), l’inviter chez moi, dans ma baignoire, puisque son bac de douche à lui est mal foutu et décidément trop petit, je le fournissais en bières, en théières…
Vainement.

Après tout, nous évoquions sans gêne la sodo surprise sans lavement, la possibilité de ce genre « d’accident », aimions tous deux conserver nos odeurs après nos nuits de mélanges fluides, je me shootais à sniffer ses si grosses et belles couilles pendantes comme peu connues avant lui, et adorais le ass-licker bien profond. Zéro complexe entre nous, n’est-ce pas, aucun tabou ? Alors, alors, quoi ? Tu te décides quand ?

Je me suis demandée s’il n’était pas un de ces hommes qui bandent juste d’envisager, que ça titille simplement de proposer, cherchant peut-être à voir jusqu’où il pouvait se permettre de m’exposer ce qui le fait triquer, et que l’évocation excite davantage que l’action…
(Récemment, Mister Jamaïque s’est très visiblement senti soulagé de mon enthousiasme à découvrir les vidéos de pratiques très particulières qu’il mate pour accompagner ses branlettes: « T’es pas choquée ? » Ben non, pourquoi le serais-je ? C’est dingo, oui, en effet, mais tu m’intéresses, alors ça m’intéresse de savoir ce qui t’intéresse ! Et surtout, ça ouvre… « des voies » !)

Alors, oui ou merde, on le fait ?
J’aime ceux qui sortent du chemin classique, qui s’engagent sur d’autres routes, qui tentent, testent, expérimentent, et osent l’exprimer, proposer, savent me le demander.
En fait, je « n’aime » pas, je craque totalement pour ces petits culs sous des jolies gueules faussement innocentes qui, presque timidement, me demandent, quasi comme un service à leur rendre, de leur y enfoncer un bidule, « C., j’ai confiance en toi, je sais qu’à toi, je peux le demander… »
Oh yes, que je dis oui ! D’abord parce que c’est trop génial à faire et à voir, observer leur joli corps progressivement se détendre, ce moment d’appréhension d’abord, puis les postures sans plus aucune pudeur qu’ils adoptent ensuite, totalement ouverts, pour que je puisse enfoncer encore, encore plus loin…
Et puis, et puis, ils sont alors tellement happy qu’ils m’honorent dans tous les sens du terme ! Et ils reviennent, parce qu’ils n’ont pas osé le demander à une autre, ou qu’avec une autre, ils ont eu bobo…
J’ADOOORE !

Ben ouais qu’il l’a fait, et d’une façon si topissime, que si j’avais pu, j’aurais aimé photographier son regard au moment exact où sa lance s’est mise à déverser sa pisse sur mon tout mon corps allongé sous lui…
Imaginez, ce Hulk noir debout au-dessus de la baignoire blanche, juché en équilibre sur les rebords, et moi totalement allongée dessous, ravie par cette vision en contre-plongée de ses jambes écartées, son cul ouverts, ses couilles lourdes, sa queue empoignée pour pouvoir viser, et, tout au-dessus, son visage, ses locks, penchés vers moi. Ça lui fait un visage presqu’effarant, la contre-plongée ! Un visage dur, un air sadique, une expression démoniaque ! J’ADORE !
Oui, j’ai adoré le voir ainsi, j’ai adoré le voir jaillir, j’ai adoré le recevoir, partout, j’ai adoré que ça dure, avoir le temps de savourer avec les yeux ouverts ou fermés, j’ai adoré cette chaleur-là et ce goût-là, j’ai adoré qu’il ose, qu’enfin il le fasse, qu’il se lâche, comme un truc un peu « ultime » qui nous lierait encore davantage, transgressif, régressif aussi, des sales gosses vicieux qui se marrent de se pisser dessus dans une baignoire…

« Golden Lady », ai-je ri !

Bon, maintenant, mon kif serait d’avoir un énorme crush pour un mec déluré qui aimerait autant me faire ce qu’il aime que je lui fasse, je te bouffe, tu me bouffes la feuille de rose, fistons-nous les uns les autres, et on se fait un pacte doré, donnant-donnant…
(Et Mister Jamaïque m’a tout l’air d’être le candidat idéal pour jouir de cette totale réciprocité…)
Let’s dare, let’s share !

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